Considérée depuis des années comme un des outils de la libération de la femme pour vivre pleinement sa sexualité sans donner la vie, la pilule contraceptive serait a contrario un tue-l'amour et une cause de divorce ou de séparation pour bien des couples.
En effet, une femme qui ne prend pas de contraceptif de type hormonal conserve, sauf problème de santé particulier, un cycle harmonieux : Au moment de son ovulation et ce pendant plusieurs jours, la femme ressent un désir pour son mari qui la pousse à l'aimer davantage et à s'unir à lui. La nature est bien faite. Notre Seigneur permet ou non qu'un enfant naisse de ces unions charnelles qui sont la continuité de l'union des coeurs des époux. Le mari et son épouse en ressentent un bien être et un équilibre nécessaires à leur vie de couple. Ils sont comblés et épanouis car véritablement unis dans l'amour de Notre seigneur Jésus-Christ.
Or, pour la femme qui utilise des contraceptifs hormonaux, il n'y a plus de cycles. Certes, les saignements qu'elle voit tous les 28 jours lui laissent croire que les cycles sont toujours là mais ce sont des saignements artificiels, car l'ovulation est purement et simplement bloquée.
Où est le problème, me direz-vous? C'est bien ce que voulait la femme qui prend la pilule non?
Peut-être, mais les effets secondaires sont importants : la femme qui n'a plus d'ovulation, ne sécrète plus de glaire cervicale (terme barbare) qui permet le passage des spermatozoïdes vers l'ovule mais aussi sert de lubrifiant pour la femme. En d'autres termes, la femme ressent moins de désir pour son mari , voire plus du tout parce qu'elle est devenue sèche.
Elle n'a plus aucune libido et puisqu'elle ne le désire plus, elle croit qu'elle ne l'aime plus. C'est le même constat pour le mari.
S'ensuivent naturellement séparations et divorces. On pense que cela ira mieux avec un autre mais passées les deux premières années du coup de foudre, et le bébé censé lier cette nouvelle union, la libido retombe à plat dès que madame reprend la pilule.
Le deuxième effet secondaire important est que, bien que les féministes prétendent le contraire, une femme qui se sait potentiellement féconde est bien plus épanouie qu'une femme qui se sait stérile parce qu'elle prend la pilule. Cet aspect est d'ordre psychologique mais pour la femme, une union ne peut être réussie que si elle est bien dans sa tête. Donc le côté psy joue un grand rôle pour mesdames.
Finalement, les pilules supprimeraient le désir des femmes et les rendraient terriblement tristes, voire seules.
Alors, mesdames les féministes, vous êtes-vous vraiment libérées ?
.
En effet, une femme qui ne prend pas de contraceptif de type hormonal conserve, sauf problème de santé particulier, un cycle harmonieux : Au moment de son ovulation et ce pendant plusieurs jours, la femme ressent un désir pour son mari qui la pousse à l'aimer davantage et à s'unir à lui. La nature est bien faite. Notre Seigneur permet ou non qu'un enfant naisse de ces unions charnelles qui sont la continuité de l'union des coeurs des époux. Le mari et son épouse en ressentent un bien être et un équilibre nécessaires à leur vie de couple. Ils sont comblés et épanouis car véritablement unis dans l'amour de Notre seigneur Jésus-Christ.
Or, pour la femme qui utilise des contraceptifs hormonaux, il n'y a plus de cycles. Certes, les saignements qu'elle voit tous les 28 jours lui laissent croire que les cycles sont toujours là mais ce sont des saignements artificiels, car l'ovulation est purement et simplement bloquée.
Où est le problème, me direz-vous? C'est bien ce que voulait la femme qui prend la pilule non?
Peut-être, mais les effets secondaires sont importants : la femme qui n'a plus d'ovulation, ne sécrète plus de glaire cervicale (terme barbare) qui permet le passage des spermatozoïdes vers l'ovule mais aussi sert de lubrifiant pour la femme. En d'autres termes, la femme ressent moins de désir pour son mari , voire plus du tout parce qu'elle est devenue sèche.
Elle n'a plus aucune libido et puisqu'elle ne le désire plus, elle croit qu'elle ne l'aime plus. C'est le même constat pour le mari.
S'ensuivent naturellement séparations et divorces. On pense que cela ira mieux avec un autre mais passées les deux premières années du coup de foudre, et le bébé censé lier cette nouvelle union, la libido retombe à plat dès que madame reprend la pilule.
Le deuxième effet secondaire important est que, bien que les féministes prétendent le contraire, une femme qui se sait potentiellement féconde est bien plus épanouie qu'une femme qui se sait stérile parce qu'elle prend la pilule. Cet aspect est d'ordre psychologique mais pour la femme, une union ne peut être réussie que si elle est bien dans sa tête. Donc le côté psy joue un grand rôle pour mesdames.
Finalement, les pilules supprimeraient le désir des femmes et les rendraient terriblement tristes, voire seules.
Alors, mesdames les féministes, vous êtes-vous vraiment libérées ?
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