J'ai brûlé mes pantalons comme les féministes brûlèrent, jadis, leur soutien-gorge.
En 68, brûler son soutien-gorge était soi-disant un acte symbolique pour dénoncer une oppression de la femme jusque dans ses vêtements ou sous-vêtements. En se débarrassant du soutien-gorge, les féministes se débarrassaient, suivant leurs dires, d'une contrainte, d'une oppression supplémentaire. Comme si c'étaient les hommes qui avaient imposé cet élément de lingerie aux femmes! On pensait ainsi retirer un caractère féminin bien défini. Mais, ôtez le soutien-gorge, reste la poitrine! Une femme reste une femme...Même sans soutien-gorge, une femme ne deviendra pas homme pour autant.
Pourquoi tenter de fuir notre nature ?
Le courage réside dans l'acceptation et l'affirmation de ce que nous sommes : des femmes !
Il faut dire non à l'idéologie du gender!
Ainsi, depuis plus d'un an, et comme bien d'autres femmes catholiques, je porte la jupe, longue de préférence, par militantisme.
La jupe longue est élégante, féminine. Elle respecte l'intimité et la pudeur.
Porter la jupe c'est une marque de respect pour nous-mêmes mais aussi pour les hommes que nous croisons dans la rue. Il est à noter que le pantalon, même large, moule forcément les fesses et attire les regards. Or, une femme doit être appréciée pour ses vertus, la beauté de son âme, son visage rayonnant et pas pour son corps considéré comme un objet.
Porter la jupe est un acte d'humilité. La femme n'est pas un homme et ne s'affuble pas de vêtements masculins.
Adam et Eve ont chuté parce qu'ils voulaient être comme des dieux.
Le femme chute lorsqu'elle veut être comme un homme, par orgueil.
Porter la jupe est un exemple que nous devons donner à nos filles. Nous sommes fières de ce que nous sommes. Ainsi seront-elles fières à leur tour de leur nature féminine.
J'ai brûlé mes pantalons parce que j'assume ce que je suis et ne voudrais pour rien au monde être quelqu'un d'autre.
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En 68, brûler son soutien-gorge était soi-disant un acte symbolique pour dénoncer une oppression de la femme jusque dans ses vêtements ou sous-vêtements. En se débarrassant du soutien-gorge, les féministes se débarrassaient, suivant leurs dires, d'une contrainte, d'une oppression supplémentaire. Comme si c'étaient les hommes qui avaient imposé cet élément de lingerie aux femmes! On pensait ainsi retirer un caractère féminin bien défini. Mais, ôtez le soutien-gorge, reste la poitrine! Une femme reste une femme...Même sans soutien-gorge, une femme ne deviendra pas homme pour autant.
Pourquoi tenter de fuir notre nature ?
Le courage réside dans l'acceptation et l'affirmation de ce que nous sommes : des femmes !
Il faut dire non à l'idéologie du gender!
Ainsi, depuis plus d'un an, et comme bien d'autres femmes catholiques, je porte la jupe, longue de préférence, par militantisme.
La jupe longue est élégante, féminine. Elle respecte l'intimité et la pudeur.
Porter la jupe c'est une marque de respect pour nous-mêmes mais aussi pour les hommes que nous croisons dans la rue. Il est à noter que le pantalon, même large, moule forcément les fesses et attire les regards. Or, une femme doit être appréciée pour ses vertus, la beauté de son âme, son visage rayonnant et pas pour son corps considéré comme un objet.
Porter la jupe est un acte d'humilité. La femme n'est pas un homme et ne s'affuble pas de vêtements masculins.
Adam et Eve ont chuté parce qu'ils voulaient être comme des dieux.
Le femme chute lorsqu'elle veut être comme un homme, par orgueil.
Porter la jupe est un exemple que nous devons donner à nos filles. Nous sommes fières de ce que nous sommes. Ainsi seront-elles fières à leur tour de leur nature féminine.
J'ai brûlé mes pantalons parce que j'assume ce que je suis et ne voudrais pour rien au monde être quelqu'un d'autre.
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